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mercredi 8 janvier 2020

Cinema | Movies I've seen #39 (December 2019) Part 2

Bonjour, bonsoir à tous, j'espère que vous allez bien! Aujourd'hui je partage avec vous la seconde partie des films que j'ai vu au mois de décembre.

Au programme : 3 films français, 2 films americano-canadiens et 2 films américains.

Supports des films vus : 
cinéma (5), DVD (0), autres (2)

Réalisateurs (7) / Réalisatrice (1)


10/12/19 : Proxima d’Alice Winocour.

Depuis son plus jeune âge, Alice Winocour se dit fascinée par l’au delà . Aujourd’hui mère d’une d'une fille de 9 ans, elle a voulu réaliser un film qui explore ce que c’est d’être astronaute tout en parlant du processus de séparation entre une mère et son enfant.

Plutôt que de diriger un énième film où l’action prend place dans l’espace, elle a choisi de s’intéresser à la partie de préparation puisqu’en effet c’est la plus conséquente de la vie des astronautes (sachant que certains d’entre eux ne partent jamais).

J’étais curieuse de découvrir ce film pour ces deux aspects et notamment pour voir Eva Green, que j’aime beaucoup, dans un rôle dans lequel je ne l’attendais pas.

Ce que j’ai particulièrement apprécié dans Proxima c’est que la cinéaste a réussi à maîtriser la balance entre les séquences où la mère travaille et celle où elle est avec sa fille. D’autre part, elle a su ne pas tomber dans le pathos ou le « trop dramatique ».

J’ai été très émue à plusieurs reprises et j’ai trouvé qu’il y avait de jolies trouvailles. Toutefois, il m’a manqué un petit quelque chose (peut-être une mise en scène plus inspirée?) pour m’emporter complètement.

Le film fait un bel hommage aux femmes astronautes et aux femmes en général, celles qui choisissent d’allier carrière professionnelle et vie de famille, ces super héroïnes du quotidien auxquelles on ne loue pas assez de louanges.

J’ai d’ailleurs été ravie de retrouver Sandra Hüller que j’avais découvert en 2016 dans l’excellent Toni Erdmann de Maren Ade (que je vous conseille de voir absolument si ce n’est pas déjà fait).

Le reste du casting est tout aussi admirable et j’ai particulièrement apprécié que la cinéaste est choisi de faire parler les acteurs dans leur langue maternelle (fait trop rare à mon goût). Cela apporte plus d’authenticité et nous montre à quelle dimension toute la planète est impliquée dans la conquête de l’espace.

Un joli troisième long-métrage pour la réalisatrice française qui nous montre qu’il y a encore du chemin à faire avant l’égalité entre femmes et hommes.

10/12/19 : Les misérables de Ladj Ly.

De Ladj Ly je ne savais presque rien si ce n’est qu’il a co-réalisé avec Stéphane De Freitas le documentaire sur l'éloquence À voix haute - La force de la parole que j’avais vu et apprécié à sa sortie en 2017.

C’est d’ailleurs cette même année que son court métrage intitulé Les Misérables est nommé au César du Meilleur court métrage en 2018. De ce court-métrage naîtra la version longue du même titre, présenté en mai dernier au Festival de Cannes 2019.

Il s’agit donc du premier long-métrage fiction que Ladj Ly réalise.

Véritable drame social dont la construction du scénario est faite de telle manière à ce que la tension ne cesse de monter au fur et à mesure, Les misérables interpelle par son côté coup de poing.

L’immersion dans la banlieue se fait comme une visite guidée avec toute une première partie où on nous présente les divers personnages de l'intrigue.

Avec un aspect cinématographique indéniable (j’ai particulièrement aimé l’étalonnage du film), ce premier essai réussit à éviter les clichés.

Les dialogues sont si bien écrits qu’on peine presque à croire qu'ils aient été écrits tellement ils semblent naturels.
Tout comme la ribambelle de personnages qui réussissent tous à exister et à se distinguer les uns des autres.

C’est cette authenticité qui impressionne et qui bouleverse. À croire le cinéaste, la réalité est encore plus dure...

Les misérables est un film dépeint une situation catastrophique sans prendre de parti mais en choisissant plutôt de constater, d’en exposer les faits tout simplement.

Ce point de vue neutre adopté par Ladj Ly permet une certaine distance vis-à-vis ce qui se déroule et par rapport à la violence omniprésente dans laquelle sont baignés les personnages. (Il est d’ailleurs intéressant de remarquer que c’est son fils qui interprète le rôle de l’enfant au drone, celui qui filme la bavure de la police).

La séquence de l’émeute dans les cages d’escalier à la fin du film est sûrement celle qui m’a le plus troublée et je dirais même traumatisée. C’était si étouffant que j’avais l’envie de sortir de la salle pour pouvoir respirer, reprendre mon souffle.

Parce qu’en 1h40 le cinéaste parvient à transmettre bien plus que de l’émotion. Et comme il l’emprunte si bien à Victor Hugo en clôturant son film "Il n'y a pas de mauvaises herbes, pas de mauvais Hommes, que de mauvais cultivateurs".

11/12/19 : La fille du 14 juillet d'Antonin Peretjatko (2013).

Cela faisait des années que je voulais voir ce film et pour tout avouer, j'avais même oublié son existence avant qu'une connaissance ne me le recommande vivement. 

Quelques jours après cette recommandation donc, je me jette à l'eau et plonge dans l'univers farfelu et poétique d'Antonin Peretjatko qui, jusqu'alors, m'était inédit. 

Dès l'introduction du film, qui est un montage d'images d'actualité que le cinéaste a tourné lui-même pendant la fête du 14 juillet, j'ai été conquise par la fraicheur et l'énergie de ce que à quoi j'étais en train d'assister. 

En effet, comment ne pas être ébahi(e) devant tant d'éléments fantasques? Entre cette musique orchestrale qui fait penser à celle des cartoons de type Tom & Jerry et les plans en vitesse accélérée pour renforcer le comique, il y a déjà beaucoup d'informations et surtout d'idées fascinantes pour un simple début. 

Il me semble que je n'ai jamais pris autant de notes sur un carnet à la vision d'un long-métrage. C'est simple : d'une main je tenais mon stylo, de l'autre la télécommande de mon lecteur de DVDs pour pouvoir mettre sur pause et ne pas rater la moindre seconde. 

Le ton est donc immédiatement donné : il s'agit d'une comédie burlesque pour mon plus grand plaisir. Il y a des apartés (j'adore les apartés) et tout un tas d'autres inventions qui fusent à la minute aussi bien en termes de scénario, de mise-en-scène ou d'accessoires comme par exemple des pièces de 0€, des pavés en mousse, des mini-guillotines etc...

Assez rapidement aussi j'ai eu comme une impression de post-synchronisation et je me suis rendue compte que le film avait sûrement était tourné à moins de 24 images par seconde comme cela se faisait du début du XXème siècle, ce qui expliquerait notamment cet effet accéléré. 

En vérifiant sur internet, j'ai eu confirmation. Comme le réalisateur l'a lui-même expliqué "À 22,5 images/seconde, le son va être accéléré et donc un peu plus aigu, ça donne une impression de postsynchro. On corrige certaines voix au mixage, d’autres sont bien comme ça."

Et puis, il y a Vimala Pons alias la fille du 14 juillet alias Truquette (soit le prénom le plus original de toute l'histoire du cinéma). Vêtue d'une simple robe bleue sans véritable coupe et d'un foulard rouge autour du cou qui rappellent les couleurs de notre drapeau français, elle se balade au milieu de la parade comme si les rues parisiennes lui appartenait. Personnellement, je suis déjà conquise et ça ne fait pas un quart d'heure que le film a démarré.

Sans parler du reste du casting avec un Vincent Macaigne au top de sa forme (je l'aime, je l'aime, si vous saviez comme je l'aime) et un Grégoire Tachnakian, doux et romantique, plus épris que jamais de sa dulcinée, qui récite des phrases comme "Je suis devenu obsédé... par le visage d'une fille".

Pour les répliques, pour la musique, pour les amoureux des roadtrips, pour l'homme déguisé en lion et l'enfant en cloporte, pour les séquences dans la neige où ils font de la luge et les séquences de plage aves les parasols multicolores, pour l'italien qui s'appelle Marcello, pour le narrateur etc... La fille du 14 juillet est à voir, absolument, le plus rapidement possible, plusieurs fois, à l'envers ou à l'endroit. 

Vous m'en direz des nouvelles!

GROS COUP DE COEUR 

12/12/19 : La famille Addams de Conrad Vernon et Greg Tiernan.

Comme tout le monde le sait, La famille Addams a été adaptée un nombre de fois hallucinant, que ce soit à la télévision ou au cinéma, les aventures de ce clan nous a été raconté de diverses manières, avec plus ou moins de succès. 

Les deux réalisateurs de cette nouvelle adaptation ont voulu différencier leurs personnages de ce qui avait déjà été fait, que ce soit au niveau de leur apparence, de leurs voix, ou de leur histoire.

Ainsi il ne s'agit donc pas d'un reboot mais d'une nouvelle manière d'aborder la bande dessinée de Charles Addams, publiée pour la première fois en 1930 dans le New Yorker.

J'ai un peu hésité avant de me rendre au cinéma de peur de me retrouver dans une salle pleine d'enfants. Au final, j'ai passé un agréable moment, d'autant plus que j'ai vu le film dans sa version originale et non pas doublée en français (non pas que je sois contre mais j'avais très envie de découvrir Charlize Theron en Morticia).

Tout comme Sausage Party (dont je vous avais parlé dans un article cinéma de janvier 2017) qui avait été notamment co-réalisé par Conrad Vernon et Greg Tiernan, j'ai trouvé que l'animation n'était pas tout à fait à la hauteur de ce qu'on a pu voir récemment.

Cet opus nous permet toutefois d'aborder plus en profondeur le passé de la famille, ce qui n'est pas inintéressant et de faire une critique de l'urbanisation ou des réseaux sociaux tels qu'on les connait aujourd'hui.

Enfin, il y a aussi le message de la tolérance qui, bien qu'il ne soit pas novateur, mérite d'être mis en avant.

Ce que j'ai préféré reste sûrement l’introduction du thème musical mythique en début de film qui est plutôt jouissive, dommage que le reste ne soit pas à la hauteur de cette entrée en matière.

En bref, c'était divertissant et j'ai ri à plusieurs reprises néanmoins ce n'est pas transcendant non plus. 

Anecdote intéressante : Une première version de La Famille Addams était en projet en 2010. Elle devait être réalisée en stop-motion par Tim Burton mais est finalement tombée à l'eau.

12/12/19 : Brooklyn affairs d'Edward Norton.

Après son premier essai en tant que réalisateur en 2000 avec Au nom d'Anna, Edward Norton revient, dix-neuf ans plus tard, avec une seconde réalisation. 

Si Brooklyn affairs ne sort que maintenant c'est un projet qui ne date pas d'hier. En effet, l'écriture avait commencé il y a un moment déjà mais, ayant souffert d'une panne d'inspiration et de difficultés à former un casting, le projet avait été mis en pause pendant quelques années. 

S'inspirant du livre Motherless Brooklyn écrit par Jonathan Lethem, le film reprend l'intrigue principale en la transposant dans les années 50 (dans le roman elle se déroule en 1999). Ce choix se justifie par la volonté de l'acteur-réalisateur à "évoquer ce qui se passe aujourd'hui sans en parler directement" soit le racisme et l'anti-démocratie.

J'étais curieuse de voir ce film premièrement parce que j'ignorais qu'Edward Norton était aussi metteur en scène et deuxièmement parce que je l'aime en tant qu'acteur et que j'avais hâte de le découvrir dans ce rôle aux côtés de Willem Dafoe et Bruce Willis (avec qui il avait déjà partagé l'affiche de Moonrise Kingdom de Wes Anderson - un de mes films favoris de tous les temps -).

Moi qui ne suis habituellement pas une grande fan de film noir, j'ai apprécié le soin avec lequel tout a été pensé. On sent qu'Edward Norton a porté une grande attention à l'ambiance de son second film et n'a rien laissé au hasard. 

Je me suis imprégnée de cette atmosphère et me suis laissée porter par l'enquête pendant 2H30 sans me rendre tout à fait compte du temps qui s'écoulait malgré un rythme assez nonchalant.

J'ai aussi été impressionnée par la performance de Norton qui, encore une fois, prouve qu'il est un acteur qu'on devrait voir davantage sur les écrans. 

En s'attribuant le rôle principal de son film, il s'octroie un rôle digne de son talent, sûrement la plus belle et la plus sincère des interprétations de sa carrière. Alors qu'il aurait pu tomber dans le cliché, son jeu est tout en subtilité et on le sent plus investi et habité que jamais. 

Ce syndrome de la Tourette dont souffre son personnage devient alors un atout pour le film plutôt qu'un handicap et apporte une dose d'humour et de tendresse à l'ensemble. D'autant plus que les mots qui s'échappent de sa bouche résonnent avec la musique jazz, omniprésente et devient comme un instrument incontrôlable pour notre plus grand plaisir. Pour cela, je tire mon chapeau!

Le seul reproche que je pourrais faire à Brooklyn Affairs c'est peut-être son côté trop "propre" et parfois un peu formatisé. À part cela, je dois admettre que je suis plutôt bluffée!

Anecdote par rapport aux costumes : 

Lorsque la chef costumière Amy Roth a commencé à se documenter, elle s’est heurtée à un obstacle : le tournage d’un autre film situé à la même époque avait commencé peu de temps avant, et avait mobilisé tous les costumes des années 1950 disponibles à New York. C'est ce qui l'a alors incité à créer ses propres costumes.

Pour ceux de Lionel, elle a voulu faire évoluer son style vestimentaire au fur et à mesure que son univers s’étend du Brooklyn de Frank Minna au vaste empire immobilier de Moses Randolph. Elle a aussi pris pour référence le photographe Saul Leiter : "Saul Leiter prend souvent des photos à travers des vitres embuées, des portails en fer forgé, des vitres de voitures à l’arrêt et il m’a fait penser à un détective privé. Il m’a un peu servi de modèle pour Lionel."

12/12/19 : The Witch de Robert Eggers (2016). 

Alors que la sortie du second long-métrage de Robert Eggers The Lighthouse était imminente (film dont je vous ai déjà parlé puisque j'ai eu la chance de voir le 7 juin dernier en avant-première au Forum des Images), je n'avais toujours pas vu The Witch.

Heureusement pour moi, le cinéma Grand Action a choisi de le repasser et j'ai pu en profiter pour le découvrir sur grand écran un jeudi soir pluvieux de décembre. 

Nous étions six dans la salle je pense et contrairement au public de d'habitude qui se constitue essentiellement de personnes à la retraite, nous avions tous la vingtaine. 

Les lumières se sont éteintes et j'appréhendais d'assister à une oeuvre horrifique (je précise que je n'avais pas vu la bande-annonce et n'avais pas lu le synopsis) qui me ferait regretter d'avoir quitté mon chez moi, douillet et accueillant.

La première image m'a immédiatement confortée dans la décision d'aller voir ce film. En effet, tout comme The Lighthouse, j'ai été frappée par la beauté de ce qui était projeté devant moi, beauté qui était aussi bien visuelle qu'auditive, bref j'étais ravie. 

Il faut savoir que l'histoire du film se base sur la première chasse aux sorcières de l'Amérique dans la Nouvelle-Angleterre coloniale, 62 ans avant les condamnations et mises à mort des célèbres sorcières de Salem en 1692 dans le Massachusetts. 

Le souhait du cinéaste était de faire une oeuvre sur le puritanisme et ses répercussions à une époque où les femmes étaient fréquemment considérées comme les symboles des forces occultes. 

Dans cette optique, il a créé, avec l'aide de son chef opérateur Jarin Blaschke, une photographie léchée qui a dû en faire rougir plus d'un (le réalisateur cite dans ses références le mythique Ingmar Bergman et plus précisément son film Cris et Chuchotements, 1973).

Le plaisir ne s'arrête pas là puisque le casting est tout aussi formidable avec dans le rôle des parents deux comédiens (Ralph Ineson et Kate Dickie) qui partagent le point commun d'avoir tous les deux joué dans la célèbre série HBO Game of Thrones et dans le rôle des enfants Anya Taylor-Joy (que j'avais déjà vu précédemment dans Split de M. Night Shyamalan), Harvey Scrimshaw (remarquable) ainsi qu'Ellie Grainger et Lucas Dawson (eux aussi incroyables).

Sans rien révéler du scénario, je vous conseille vivement de voir ce film dont, l'intensification de l'horreur est somptueusement percutante. 

Et par la même, profitez-en pour voir The Lighthouse qui, pour ma part, m'a encore plus marquée.

13/12/19 : Tootsie de Sydney Pollack (1983).

Cela faisait des années et des années que je souhaitais voir ce film et avec joie je découvre qu'il est disponible sur OCS.

Quelle surprise quand je m'aperçois qu'en plus de Dustin Hoffman figurent notamment Bill Murray et Jessica Lange à l'affiche de cette comédie des années 80.

Tootsie c'est une idée de scénario astucieuse qui raconte l'histoire d'un personnage toujours actuel, parfaitement incarné par un acteur que j'aime depuis toujours. 

Ce que j'ai adoré ce sont les nombreuses répliques qui donnent vie à l'intrigue et nous permettent de mieux cerner la personnalité de tous les protagonistes. 

Par exemple le meilleur ami (interprété par Bill Murray) est l'incarnation suprême du type paumé qui aime s'écouter parler et dit des phrases comme "I wish I had a theatre that was only open when it rained" (Je voudrais un théâtre qui soit ouvert uniquement par jour de pluie) ou encore "When people dream, they don't dream in their own country anymore. That's sick." (Quand les gens rêves, ils ne rêvent plus dans leur propre pays. C'est fou.).

Non seulement on rit, on réfléchit à la situation des acteurs, à quel point leur métier est difficile et à la situation des femmes aussi. Parce que oui, Tootsie ce n'est pas qu'un film sur un homme qui se travestie, c'est aussi et surtout un film féministe qui traite de sujets toujours brûlants.

Comme tous les autres films que j'ai vu de Sydney Pollack (Propriété interdite, 1966 / Jeremiah Johnson, 1972 / Nos plus belles années (The Way we were), 1973 et Out of Africa, 1985), j'ai été bouleversée par la justesse avec laquelle il réussit à dépeindre la société et sa manière de raconter des histoires d'amour pas comme les autres.

Je recommande!

Anecdotes rigolotes :
1.  On doit le titre de Tootsie à Dustin Hoffman : il s'agit en effet du surnom que lui donnait sa mère quand il était enfant.
2.Bill Murray, qui joue ici le rôle de Jeff Slater, accepta que son nom... soit absent du générique ! Cette démarche s'explique par le fait que le réalisateur, Sydney Pollack, ne souhaitait pas voir son film assimilé aux précédentes prestations du comédien comme Arrête de ramer, t'es sur le sable d'Ivan Reitman (1978).


Voici donc pour la deuxième partie des films que j'ai vu au mois de décembre 2019. J'espère que cet article vous a plu et vous retrouve prochainement avec du nouveau.

PS : J'ai créé un compte instagram consacré au cinéma et j'y partage une critique de film par jour. Si cela vous intéresse, je vous invite à me suivre dès maintenant en vous abonnant à @sybillecinema.


3 commentaires:

  1. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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  2. Le sujet de Proxima est original est intéressant, car comme tu le dis on voit généralement assez peu la préparation au départ de ces astronautes. Je l'ajoute à ma liste !

    J'ai beaucoup entendu parler des Misérables et c'est clairement un film que je veux voir !

    J'ai un peur de trouver La Fille du 14 Juillet trop absurde à mon goût mais refuser de le voir serait certainement passer à côté de quelque chose de génial donc bon, pourquoi pas ;)


    Edward Norton est un acteur que j'aime beaucoup également, ton avis sur sa prestation me donne envie de voir ce film !

    The Witch m'intrigue beaucoup, je l'ajoute à ma liste sans hésitation :D

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    1. Oh oui, je ne peux que te recommander fortement La fille du 14 juillet!

      À ce que je vois c'est une sélection qui t'as bien plu! J'espère pouvoir retrouver ton avis sur les films en question prochainement sur ton blog :D

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