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vendredi 2 novembre 2018

Cinema | Movies I've seen #24 (September 2018)


01/09/18 : Le Septième Sceau d'Ingmar Bergman (1957). Connu pour être l'un des films les plus étudiés de tous les temps par les fans de cinéma du monde entier, Le Septième Sceau est assez mythique. Entre ceux qui l'encense et ceux qui disent que c'est une bouse absolue, difficile de voir ce film sans avoir quelques préjugés. Je pense que j'avais tellement peur de le voir et de trouver ça hyper ennuyeux qu'au final, c'était moins pire que ce que j'imaginais et je dirais même que j'ai bien aimé! Tous les cadres sont merveilleusement composés et ont ravi mes yeux plus que jamais : ce qui est point très positif selon moi. Quant à l'histoire, si on regarde le film au premier degré je pense que c'est effectivement plutôt répulsif (les thèmes principaux étant : la vie, la mort, Dieu, le néant) mais si on prend du recul, c'est au final assez "divertissant".


01/09/18 : Perfetti sconosciuti de Paolo Genovese (2016). On m'avait conseillé ce film il y a quelques temps déjà et quand je suis allée en Italie avec mon père cet été, nous l'avons acheté en dvd. En quelques mots : c'est une très bonne comédie italienne. Le scénario est très bien écrit et on a de l'intérêt pour tous les personnages (certains plus que d'autres mais c'est souvent le cas). Ce qui m'a le plus plu c'est sûrement l'intelligence avec laquelle tout est présenté, abordé. Si vous avez vu et aimé Le Prénom d'Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte et Carnage de Roman Polanski, ce huis clos italien vous plaira sûrement. Aussi, en ce moment passe au cinéma Le Jeu de Fred Cavayé (que je n'ai pas encore vu) et qui est un remake du film de Genovese. Je ne sais pas encore si j'irai le voir parce que je ne suis pas sûre d'en voir l'intérêt mais on ne sait jamais, l'avenir nous le dira. 

02/09/18 : L'échappée belle de Paolo Virzi. Un autre Paolo, un autre réalisateur italien mais un film qui n'a rien à voir avec le précédent. En effet, chez Virzi l'histoire se passe aux Etats-Unis et tout est écrit en anglais. On se concentre sur deux personnages en particulier : un vieux couple composé d'une Helen Mirren plus forte que jamais et d'un Donald Sutherland qu'on a du mal à ne pas trouver adorable (il est tellement connu pour jouer les "méchants" que le voir dans ce rôle de vieil homme atteint d'Alzheimer est d'autant plus marquant). Je me suis totalement laissée émouvoir par cette histoire et j'ai pleuré comme jamais. Très joli road movie que je conseille à ceux qui n'ont pas peur de sortir leurs mouchoirs. 

02/09/18 : Le Prince des marées de Barbra Streisand (1992). Ce film aussi fait partie de ceux que j'ai acheté en dvd alors que j'étais en Italie. Je ne vous mentirai pas : je l'ai acheté uniquement parce qu'il était réalisé par Barbra Streisand que j'aime énormément. Le film a malheureusement un peu vieilli et le scénario n'est pas non plus transcendant. Je n'ai pas trouvé ça désagréable à regarder non plus, j'ai juste trouvé ça moyen. Toutefois, pour les looks d'une seule et même couleur de Barbra c'est un film qui me restera en tête (je l'avoue : je me suis totalement reconnue dans cette folie d'absolument tout accorder, du vernis, aux collants haha). Et puis, franchement pour ceux/celles qui aiment les comédies romantiques, ça fait l'affaire! 

07/09/18 : Tout le monde debout de Franck Dubosc. Pendant une semaine, UGC a décidé de repasser des comédies qui avaient eu du succès pendant l'année. Étant donné que je l'avais raté quand il était en salles, j'ai décidé de profiter de cette "semaine de la comédie" pour aller voir la dernière réalisation du cher comique. Franchement? J'ai été surprise par la bienveillance de ce film. J'ai trouvé que c'était humble et touchant et pas lourd du tout. J'ai donc passé un bon moment et cela m'a fait du bien de ne pas trop réfléchir en regardant un film. Aussi, pour voir Dubosc chanter en italien, ce film est à voir haha.

09/09/18 : Folles de joie de Paolo Virzi (2016). J'ai vu un autre film de Virzi parce que mon père, qui donne des cours de cinéma italien, a décidé de se consacrer à ce réalisateur pour cette nouvelle année scolaire. J'avais déjà ce dvd chez moi alors j'en ai profité pour le regarder en rentrant d'Italie. Je ne suis pas une très grande fan de Valeria Bruni Tedeschi alors j'ai toujours un petit à priori quand je sais qu'elle joue dans un film que je m'apprête à voir. Comme souvent, elle incarne une femme totalement hystérique, qui pleure et bouge dans tous les sens (ce qui a le don de m'énerver au plus haut point). Le duo qu'elle forme avec Micaela Ramazzotti fonctionne très bien et est intéressant mais il ne permet pas de sauver le film pour autant. En résumé, je dirais que j'ai bien aimé sans plus. Certaines séquences sont vraiment réussies mais l'ensemble ne m'a pas convaincue. 

10/09/18 : Lolita malgré moi de Mark Waters (2004). Je n'avais encore jamais vu ce film mythique du début des années 2000. Ce jour-là je n'étais pas très bien et j'avais besoin de ne penser à rien et rire. Clairement : ce film a fait l'affaire. Les looks sont légendaires, le scénario est carrément stupide mais si on ne le regarde pas au premier degré, l'expérience en devient carrément plus tolérable haha. 

10/09/18 : Moi, belle et jolie d'Abby Kohn et Marc Silverstein. Tout le monde a parlé de ce film quand il est sorti sur Netflix et comme j'étais dans une humeur à regarder des comédies girly je me suis dit qu'il allait me satisfaire. Si j'ai bien aimé la première partie j'ai trouvé que plus les minutes avançaient plus l'histoire perdait de son intérêt. J'ai été heureuse de voir cette Amy Schumer épanouie, je trouve ça dommage cependant que son personnage devienne "intéressant" à partir du moment où elle travaille dans la mode et qu'elle commence donc à s'habiller avec style. On repense au Diable s'habille en Prada sauf que cette fois-ci l'actrice a plus de formes et que c'est BEAUCOUP BEAUCOUP moins bien écrit. Pas mal donc mais pas sûre que le message que le film veut faire passer soit totalement respecté. 

10/09/18 : Sierra Burgess is a Loser de Ian Samuels. Quand on commence sur Netflix, on ne s'arrête plus. Je suis restée sur ma lancée de "films pour filles" avec cette petite production qui a, elle aussi, beaucoup fait parler d'elle. Des trois films que j'ai vu ce jour-là, c'est sûrement celui que j'ai le plus aimé bien qu'il reste quand même assez niais et très "ado". Cela m'a fait du bien de voir un film comme celui-là avec pour personnage principal une rouquine qui a du chien et nous émeut de sincérité, j'aurais juste aimé qu'il y ait moins de nunucheries.

10/09/18 : Leave No Trace de Debra Granik. J'ai eu la chance de découvrir ce film en avant-première et en présence de la réalisatrice grâce à SensCritique. J'avais vu Winter's Bone avec Jennifer Lawrence (film qui l'a d'ailleurs fait connaître) et j'avais été impressionnée par la capacité de Debra Granik a dépeindre cette ambiance d'Amérique "profonde". Je ne sais pas si je serais aller voir ce film par moi-même mais en tout cas je ne suis absolument pas déçue de l'avoir vu! En effet, une fois de plus j'ai été complètement absorbée par cette histoire de père-fille qui habitent clandestinement dans la forêt, le plus loin possible du monde moderne. On pense forcément aux films Le château de verre de Destin Cretton (dont je vous parlais >> ici <<) ou encore à Captain Fantastic de Matt Ross, sauf qu'on est dans quelque chose de plus véridique, moins hollywoodien, moins glamour en somme et c'est ce qui fait la force de ce film à mon avis. Mention spéciale aux deux acteurs principaux qui sont absolument exceptionnels. 

14/09/18 : Mademoiselle de Joncquières d'Emmanuel Mouret. Pour toute personne qui me connait un minimum, il est bien connu que je suis une fan absolue d'Edouard Baer. Je suis donc allée voir ce film bien plus pour lui que pour l'histoire. Malheureusement un acteur ne fait pas tout! Et bien qu'il apporte vraiment un plus au film selon moi (en toute objectivité), le film m'a énormément déçue. J'ai trouvé que la photographie était trop plate, sans contraste et la mise en scène était d'une laideur absolue et bien que les dialogues soient assez bien écrits, on s'ennuie à mourrir et on a hâte d'en finir. Trop de fondus au noir, un début très long, le récit a du mal à trouver son rythme. Il y a beaucoup de maladresses comme par exemple pour signifier le temps qui passe : un arbre qui pousse. Pas folichon comme idée ^^ Le seul point positif : les costumes (des dentelles magnifiques) et en particulier les bijoux. Dommage...

17/09/18 : Whitney de Kevin Macdonald. Je trouve que ce n'est jamais facile de parler d'un documentaire surtout quand cela traite d'un sujet, d'une personne qu'on aime beaucoup. J'avais vu il y a quelques mois, un autre documentaire consacrée à Whitney Houston sur Netflix qui m'en avait appris plus sur sa vie privée (familiale comme sentimentale) dont j'ignorais presque tout. Avant d'aller voir cet autre documentaire consacré à l'immense artiste qu'elle était, je me suis demandée quel point de vue, axe, le réalisateur allait prendre. Je dois dire que je n'ai pas été déçue. Il y a beaucoup de témoignages de ses proches, le tout entrelacé avec des vidéos de tournées, des extraits de clips et d'interviews diverses. L'ensemble est cohérent et émouvant et ce que j'ai le plus apprécié c'est sûrement le fait que la voix de Whitney Houston est correctement mise en valeur. Impossible de ne pas reconnaître que c'était une femme de talent et de ne pas être touchée par toute l'émotion avec laquelle elle s'exprimait. Un véritable plaisir pour les oreilles. D'ailleurs, quand le générique de fin s'est lancé : personne n'a bougé dans la salle, nous étions tous scotchés à nos sièges, à l'écoute de cette voix si parfaite. 

18/09/18 : BlacKkKlansman - J'ai infiltré le Ku Klux Klan de Spike Lee. Premier film que je voyais du réalisateur alors forcément j'étais aux aguets (d'autant plus que le film a remporté le Grand Prix à Cannes et que tout le monde n'a pas arrêté de vanter ses mérites). Alors j'ai essayé, vraiment essayé, de comprendre pourquoi ce film avait autant plu mais encore aujourd'hui après presque deux mois je ne comprends toujours pas. C'est sympathique, on rigole, on rigole, les acteurs sont bons, l'ambiance générale est cool, toutefois ça ne va pas beaucoup plus loin. J'ai trouvé le message lourd, inutilement politique et je dirais même archaïque. En effet, ce film qui sort en 2018 c'est tout sauf original selon moi et Spike Lee a raté sa mission première : continuer d'éveiller les consciences. Parce que oui, il existe encore des inégalités aujourd'hui. Malheureusement le discours qu'il tient est tout sauf réconciliant, novateur. Personnellement je me suis sentie presque agressée, forcée à me morfondre et m'indigner. Enfin, ce qui m'a sûrement le plus dérangée c'est qu'à la longue il crée une séparation encore plus grande entre Noirs et Blancs en les montrant opposés plutôt que rassemblés. Bon après c'est un film qui est réussi en termes de direction artistique, j'ai juste regretté sa maladresse.

19/09/18 : Burning de Lee Chang-Dong. J'ai vraiment été déroutée par ce film. De beaux moments, très poétiques, un trio d'acteurs excellent aussi. C'est au niveau de l'histoire que cela pêche et de la réalisation en général aussi. Je me considère comme une spectatrice assez crédule et je dirais même que dans la vie, je peux être assez naïve. Je suis donc rarement la fille qui devine la fin des films, alors quand cela arrive, comme pour celui-là, et bien je suis assez déçue et j'ai des difficultés à garder la même concentration que j'avais au début. Bon après il faut dire que je ne suis pas une grande fan de thrillers alors je ne suis peut-être pas la mieux placée pour en parler mais justement, s'il ne m'a pas envoûtée c'est qu'il manquait d'un petit truc en plus.

25/09/18 : Le monde est à toi de Romain Gavras. J'ai vraiment hésité à aller voir ce film mais vu que j'essaye de m'intéresser à absolument tous les genres cinématographiques et que je ne veux pas mourir bête, j'ai décidé que je ne pouvais pas raté ce succès français qui a mis beaucoup de personnes d'accord. J'avais peur du cliché : j'en ai eu. J'avais peur que l'histoire soit dans le fond assez inintéressante : c'était le cas. Si on met de côté la mise en scène et le scénario qui ne m'ont pas franchement convaincue, certains aspects du film m'ont beaucoup plu. En effet, le personnage interprété par Vincent Cassel m'a beaucoup fait rire (à savoir que je déteste cet acteur) et les choix musicaux sont assez culottés et pour le coup, assez géniaux (utiliser du Sardou, du Voulzy ou encore du Balavoine pour illustrer ce film c'est fort et ça marche). Pour conclure, je dirais que ce qui m'a le plus dérangé, déplu avec Le monde est à toi c'est sa "contemporanéité" et donc en extension son côté éphémère. Selon moi, un film comme celui-là est aussitôt vu, aussitôt oublié et SURTOUT aussitôt désuet. Ce qui est assez triste en particulier si vous aimez revoir les films comme moi. Je respecte la prise de risque et le style de Romain Gavras en tout cas. Il a trouvé sa pâte et ce n'est pas une tâche facile. J'espère juste qu'il ne va pas se cantonner à la facilité et faire évoluer sa signature. 

25/09/18 : Voyez comme on danse de Michel Blanc. Ça y est! J'ai enfin vu le film sur lequel j'étais stagiaire caméra. C'est un peu en avance que nous avons pu le découvrir avec l'équipe lors d'une projection privée fin septembre (le film est sorti en salles le 10 octobre). Je ne vais pas vous mentir : il est assez complexe de critiquer un film sur lequel on a travaillé, surtout quand cela s'est bien passé et qu'on en garde de très bons souvenirs. Cependant, je vais tenter d'être la plus honnête et objective possible. Voyez comme on danse est la suite du film Embrassez qui vous voudrez sorti en 2002 et notamment réalisé par Michel Blanc. Après 15 ans sans être passé derrière la caméra, Michel Blanc a retrouvé les personnages qu'il avait écrit et a essayé de s'adapter à tous les changements, nouveautés qui ont eu lieu depuis le début des années 2000. C'est sûrement l'un des aspects les plus compliqués d'une suite et c'est justement de ça dont souffre cruellement le film. Alors c'est une très jolie comédie française, propre, bien écrite toutefois pour ceux qui s'attendent à de la fraicheur, on est loin d'assister à un renouveau du genre. Bien au contraire, on a plutôt l'impression d'avoir toujours un pied dans le passé. Chapeau quand même au jeu exquis de Karin Viard et Jean-Paul Rouve qui, malgré le caractère assez insupportable de leurs personnages, restent ceux à qui l'ont s'attache le plus. Double chapeau à Michel Blanc pour ses courtes apparitions, courtes mais mémorables. Enfin, j'ai beaucoup aimé les chansons de la bande son qui, pour le coup, sont très actuelles et s'adaptent bien à l'ensemble. Bon et si vous voulez voir mon nom au générique, courrez-y, ne vous retenez pas haha!

28/09/18 : Première année de Thomas Lilti. J'ai été agréablement surprise par ce film. J'ai été très émue (honnêtement, je n'ai pas arrêté de pleurer c'était ridicule) et je me suis totalement projetée, mise à la place des personnages. J'ai ressenti le stress, la peur, l'envie, la force, la jalousie, la fatigue. Je suis passée de la joie, à la tristesse et tout ça de manière très homogène et parfaitement dosée. D'autre part, je suis toujours plus amoureuse de Vincent Lacoste à chaque fois que je le vois dans un nouveau rôle et le duo qu'il forme avec William Lebghil fonctionne à merveille. J'ai adoré ce film et je ne vais pas m'en cacher. Il m'a fait du bien et je vous le recommande vraiment! 

Total films vus au cinéma : 9
Total films vus en dvd : 5
Total films vus sur Netflix : 3
Total films vus tous supports : 17

Voici donc pour les films que j'ai vu au mois de septembre. Je suis très très en retard sur tous mes articles (j'ai mis de côté la suite de mes critiques de films que j'ai vu au mois d'août parce que je ne m'en sortais pas et que je trouvais plus intéressant pour vous de vous parlez de films "actuels"). J'espère, comme toujours, que cet article vous a intéressé et donné envie de découvrir certains des films que j'ai sélectionné. 

Je vous embrasse fort et vous retrouve dimanche avec un article musique! 


4 commentaires:

  1. Mean Girls c'est toute mon adolescence ! J'ai vu ce film plein de fois, il me faisait tellement rire mais c'est clair qu'en le revoyant plus tard, on se dit qu'il est bien nul (mais effectivement faut le prendre au second degré) :)
    J'avais aussi entendu parler de I Feel Pretty après avoir vu Crazy Amy que j'ai détesté au plus profond de moi-même... ta critique confirme mes a priori haha.
    Sinon, j'avais très envie de voir Blackkkklansman et Mademoiselle de Joncquières donc nous verrons si j'en pense la même chose que toi ;)
    Bisous bisous !♥ (Mon gâteau sorti du four était trop bon, hihihi)

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  2. Je n'avais pas vraiment aimé Crazy Amy non plus ^^
    Oui, si tu vas les voir, j'aimerais bien avoir ton avis :D
    BISOUS ♥

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    1. Je reviens sur ton article après avoir vu Mademoiselle de Joncquières, que je n'ai en fait pas terminé tellement j'ai été ennuyée par la maladresse et la lourdeur des dialogues ! C'est bien écrit mais pour un livre, pas pour un film :o Très déçue de ne pas avoir réussi à le regarder jusqu'au bout car l'histoire me tentait trop et le film est beau !
      Blackklansman m'a aussi beaucoup déçue car je l'ai trouvé assez mal construit, avec des musiques très mal placées qui tuent le climax... Bref, comme toi je m'attendais à mieux !

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    2. C'est marrant que tu es trouvé le film beau alors qu'il m'a justement marqué par sa laideur haha ^^ Et j'avoue que je ne suis pas très étonnée que tu n'aies pas vraiment aimé Blackklansman.
      Dommage que les deux films que tu avais choisi de voir parmi mon article ne t'ai pas comblée (j'avoue toutefois que je n'aurais pas fait ce choix là). Merci d'avoir pris le temps de m'écrire ce commentaire en tout cas :D

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