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samedi 27 juillet 2013

Travel | USA West Coast Roadtrip - DAY 1

1ER JOUR : SAN FRANCISCO

Le voyage commence mal, un coup de fil du taxi à la maison, ma mère sort pour aller prévenir le chauffeur qu'on arrive, aucun signe de vie de ce dernier. Le gars a filé! Ma mère commence à s'énerver, moi j'essaye de la calmer. Le téléphone débranché, l'Iphone est notre seul recours. Après plusieurs tentatives, le deuxième taxi arrive. Ce dont on se souviendra : le chauffeur de taxi était super sympa, un vrai philosophe qui avait un vocabulaire très étendu permettant à notre conversation d'être d'autant plus agréable.

On arrive enfin à destination. Nos amis nous attendent déjà sur place. 
Première mission : trouver une boite aux lettres afin d'envoyer mon fichu dossier d'inscription pour l'université. Chose faite, déjà un poids en moins. 
Le temps de manger un petit croissant et d'acheter des magazines, il est déjà l'heure de faire le check in. 

Petite anecdote : Alors que nous faisions la queue, je vois sur le sol une flaque qui s'étendait à nos pieds, je lève la tête et devant nous se dresse un homme dont le tissu du pantalon s'assombrit au fur et à mesure. D'abord, ma mère ne comprend pas tout de suite, pensant que l'eau venait de la chaussure de ce dernier à tort. En effet, il s'avère que cet homme était handicapé, et surement terrorisé par le monde et le fait qu'il allait prendre l'avion, il s'est fait pipi dessus.

Les 8h d'avion n'ont pas été aussi horribles qu'attendues. J'étais à côté de mon amie d'enfance Clothilde, nous avons regardé un film plutôt gentillet avec Tina Fey. 
Une des hôtesses était anglaise, on retiendra son accent et l'envie que nous avions qu'elle ne cesse de parler. 
Un steward aussi était assez intéressant, indien et très efféminée, il avait des yeux d'une couleur troublante rendant son regard magnétique. 

Arrivée à Newark. Direction les informations afin de savoir quel transport prendre pour aller à JFK. On tombe sur Kesha, une black aux faux cils super sympa qui passe une dizaine de coup de fil dans le but de nous trouver un mini van pouvant nous emmener à destination. Déjà ça commence bien! Bonjour l'accueil! Ca change des français et on comprend un peu mieux leur regard critique sur nous.
Après, c'est un homme qui nous accompagne à l'endroit pour attendre le van : point de plus pour les américains. 

Autre chose qu'on remarque, le patriotisme états-unien : pleins de drapeaux partout.

Le chauffeur arrive, et lui aussi fait marquer des points pour le camp américain : jamaïcain et très sociable, il nous fait le show. On passe par un petit bout de Manhattan, l'atmosphère new yorkaise est palpable, on a qu'une envie, sortir dehors et aller visiter. 

Quand nous arrivons à JFK, petite déception. En effet, pour ce qui est de l'organisation ils ne sont pas au point. Même les employés ne savent pas ce qu'ils font donc c'est très long et d'autant plus pénible du fait que nous sommes éreintés de notre premier voyage. Si les premiers effets de la fatigue se font ressentir, ce sont aussi ceux de la faim qui se font entendre. Nouvelle déception : même pas de McDo ou de Burger King, nous sommes obligés de nous résigner et d'acheter de la very bad and expensive food : en gros JFK = à proscrire. 

Et les déceptions s'enchainent : dans l'avion, les sièges ne sont pas confortables du tout, la clim est affreuse. Je change de position toutes les 2 min. Je suis dans un état indescriptible...

Après les 6h les plus pénibles de ma vie, nous arrivons à San Francisco. Là aussi, même si nous avons attendus un petit peu, on retient une fois de plus que les américains sont très organisés. Effectivement, fini les galères comme à Paris où c'est toute une épopée pour attraper un taxi, ici c'est le "shuttle" qui vient à vous. 

Première impression sur l'hôtel : très bonne.
Le lit est confortable. Les équipements sont vraiment biens.
J'allume la télé deux minutes juste par curiosité : How I Met Your Mother en direct, House, 50 Rock, l'impression est drôle mais fort loin d'être désagréable.

Minuit heure locale, 9h heure française : nous nous couchons enfin.

(Suite dans la soirée ou demain matin avec quelques photos!)

Bisous de San Francisco! Sybille.

DAY 1: SAN FRANCISCO

The trip started badly, my mother went out to warn the driver that we were coming but there was no sign of  him outside. The guy left! My mother started to get upset, I tried to calm her. The phone disconnected, the iPhone was our only recourse. After several attempts, the second taxi arrived. What I will remember is that: the taxi driver was very nice, indeed, he was a true philosopher who had an extensive vocabulary. 

We finally arrived at the airport at 8am. Our friends were already there waiting for us.
First mission: find a mailbox to send my damn registration for college record. When I did, it was a real relief!
The minute we finished to eat a croissant and buy magazines, it was already time to do the "check in".

Anecdote: While we lined up, I saw a puddle on the floor that stretched at our feet, I looked up and was standing before us a man whose pants fabric darkened progressively. First, my mother did not understand right away, thinking that the water came from his shoes. But it turns out that this man was disabled, and the fact that he was probably terrified of taking the plane, he peed on himself.

The 8 hours of plane were not as horrible than expected. I was next to my childhood friend Clothilde and we watched a movie starring Tina Fey : it was nice but not great.
One of the hostesses was English and she had a beautiful accent. A steward was also quite interesting, and very effeminate, he had an uncanny eye color making his gaze very magnetic.

Arrival at Newark. We searched someone to know what transportation to take to get to JFK. Kesha, a nice lady with false eyelashes, helped us. She passed a dozen phone calls in order to find us a mini van that could take us to our destination. We were surprised by her kindness and we thought the welcoming was quite impressive, it changes compared to France and I now understand a little better the American critical eye on us.
Then, a man accompanied us to the place to wait for the van: another positive point for the Americans.

Another thing I've noticed, the American patriotism: in fact there are Stars and Stripes flags everywhere.

The driver arrived, he was Jamaican and very sociable, he made us a real show. We went through a little bit of Manhattan, and I can say that the New York atmosphere was palpable, and I just wanted go out and visit the city.

When we arrived at JFK: huge disappointment. Indeed, in terms of organization they are not as effective as Newark Airport. Even the employees did not know what they were doing so it was very long and annoying because we were exhausted because of our first trip. If the first effects of fatigue were felt, we were also starving. Another disappointment: not even a McDonalds or a Burger King, we had to resign ourselves and buy very bad and expansive food > JFK = not recommended.

And disappointments kept coming: in the plane, the seats were not comfortable at all, the air conditioning was terrible. I changed position every 2 min. I was in an indescribable state and at this point: no one should piss me off.

After the most painful six hours of my life, we arrived in San Francisco. Again, even if we waited a little bit, we once again saw that Americans are very organized. Indeed, if in Paris it is very difficult to catch a taxi, here it is the "shuttle" that comes to you.

The first impression of the hotel is very good.
The bed is comfortable. 
I turned on the TV just two minutes out of curiosity: How I Met Your Mother Live, House, 50 Rock, it was very funny because I'm not used to it!
Midnight local time, 9am in France, we finally went to bed.

(I will write down the sequel this evening or tomorrow morning and i'll post some pictures!)

Kisses from San Francisco! Sybille.

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